Une nuit passée [Libre]

Elle se réveilla dans sa chambre. Elle était assez espacée ou du moins cela lui convenait. Quelques meubles se dressaient dans un coin. Une armoire et un bureau leurs couleurs étaient semblables. Un bois foncer couleurs sapin. Elle avait posé sa valise sur son bureau. Mais n’avais pas encore déballé ses affaires. Elle était arrivé tard dans la soirée et n’avais pas eu le temps de visiter l’endroit ni de rencontrer des gens.
Elle pencha la tête sur le côté pour regarder le réveil. Il n’était que 6h00. On devinait les quelques rayons de soleil entrer par la fenêtrer et lui éclairer le visage. Les yeux mi-clos elle remit la couverture sur ses épaules. C’était un de ses matins de Printemps. Il pleuvait la nuit et en journée il faisait relativement beau. Seulement nous n’étions pas encore au Printemps mais en Automne. Après un certain temps allongé dans son lit elle décida de se lever. Elle regarda à nouveaux l’heure. Il était 6h30. Elle aura besoin de quelques minutes pour prendre une douche et quelques autres pour s’habiller. Elle essaya de fixer l’heure quand elle reviendrait. Elle prendrait dix minutes pour la douche et 6 pour s’habiller. Elle se leva d’un bond. Autant courir si elle veut réussir à revenir pour 6h47 !
Elle alla jusqu’à sa valise et pris ses sous vêtements ainsi qu’un essuie.
Elle couru jusqu’à la salle de bain et entra dans la douche. Elle alluma instantanément l’eau qui à sa grande stupéfaction était gelée. Elle ne put retenir un cri effaré. L’eau se chauffa assez vite quand même et elle pu se savonner tranquillement.
Quand elle eut finis sa douche elle se sécha rapidement et mis ses sous vêtements.
Elle retourna prêt de son réveil. A cause de se problème de chauffage inattendu elle avait perdu 2 minutes. Et elle n’était qu’en sous vêtement. Elle soupira. Pour la prochaine fois elle contera sa en plus. Elle se dirigea vers sa valise et prit un jeans foncé ainsi qu’un t-shirt vert foncé.
Elle mit ses chaussures et sorti de sa chambre. Le bâtiment était énorme. Elle reprit le chemin par lequel elle était venue. Elle était passée par la cour.
Elle regarda cet endroit d’un air admiratif. C’était très joli mais avec l’obscurité elle ne l’avait pas remarqué. Elle entreprit de s’asseoir sur un banc mais celui-ci était trempé.
Elle esquissa une faible grimace et s’assit par terre au soleil où le sol avait déjà sécher.
Elle regarda autour d’elle en se demandant si les élèves passaient souvent de se coin.
Etant très amical elle ne pouvait pas supporter de rester seule.