Méandre d'un esprit malade Chapitre I

Ansem était dans la cours, plusieurs élèves parlaient mais lui était seul comme toujours. Il ne s’était pas fait énormément d’amis depuis son arrivé, il n’avait pas vraiment cherché non plus. La compagnie de certaine personne ne l’intéresse pas. Il ne voulait pas vraiment porter de fardeau autre que le sien. Qui été déjà dur a porter. Il voulait oublier son passé, se pencher sur son avenir. Il l’espérait glorieux. Avec son nouveau pouvoir et sa volonté il pouvait faire quelque chose ici, il n’en doutait pas.

Ansem remarqua un banc libre près d’un arbre mort dans la cour. Il traversa au milieu des élèves qui couraient partout. Le bousculant mais il ne faisait pas vraiment attention. Ses hautes bottes tintaient d’un bruit métallique. Il s’assit sur le banc en regardant vaguement les autre autour de lui, il ne faisait pas partie de ce monde la. Il n’avait pas connu la joie et la jeunesse. Il n’avait pas connu les fous rires entre amis. Il n’avait pas d’amis.

Sur l’arbre il fit un chat, un chat noir, qui le regardait. Il ne semblait pas avoir peur d’Ansem, et il lui demandait de venir a lui. Le chat descendit la branche pour venir sur ses genoux, et Ansem lui caressait le dos de ses mains gantées. Les autre étudiant courait toujours partout, le besoin de se dégourdir les jambes après une journée de cour, normal, mais lui n’était pas comme eux. Il le regretté peut être un peut.

Le chat ronronné sur ses jambes, se frottant contre le ventre d’Ansem. Il appréciait, seul les animaux ne le rejeté pas. Il été bien avec eux, l’esprit humain été plus dure a cernée. Ansem prenait un malin plaisir d’analyser les autre. Pour les cerné, et voir que lui personne ne le cernait vraiment lui fit montée une vague de fierté, mais aussi un vague sentiment de déception. Il aurait sûrement voulut être comme tout le monde. Mais les Cicatrise qu’il avait sur le corps, ne ferrait jamais de lui une personne normal, sociable avec tout le monde.

Il remarquât un groupe de jeune fille a coté de lui, qui bavardé et riait, parlant de tout et de rien. Et une nouvelle fois, il se retrouvât bête et seule face au monde. Soudain le chat partie rapidement Et une homme s’avançait vers lui, il levât les yeux pour se retrouvé face a un autre garçon qui semblait seul.

Nakito arriva enfin à l'école dans lequel il avait été envoyé par ses parents. Fier sur son moncycle, il lui semblait dominé la foule. Les autres élèves le regardaient bizarrement. Il zigzagua dans la foule sans quelques difficultés. A chaque fois qu'il s'approcha d'un groupe pour leur parler, celui-ci s'éloigna. Pas une seconde, il ne perdit espoir à trouver un interlocuteur. Il leur paraissait original, mais il était lui. Et ça personne ne pouvait lui reprocher.

Perché sur son monocycle, il vit, à un moment, un jeune homme assis sur un banc à l'écart des autres. Il s'avança vers lui. Il semblait observer la foule, l'analyser. Il caressait un chat noir, de plus il avait une apparence quelque peu particulière. Tout ceci le rendait sinistre, trop sinistre pour que Nakito ne fasse rien. Arrivé à sa hauteur, Nakito se présenta:

"Bonjour, je suis Nakito Sumaka. Je viens juste d'arriver. Vous devez être Freud, notre enseignant en psychologie, non?"

Il dit cette phrase d'un ton si sérieux qu'on pouvait en voire son ironie.

Ansem vit arrivé un jeune homme sur un monocycle. Il ne voyait pas vraiment l’intérêt. Il été déjà grand mais la ça frisait le ridicule. Bien qu’il ne sache pas vraiment ce que pourrait être le ridicule en faite. Lui devait être ridicule, un ombre funeste sur le campus d’ado tout a faite normal. Il n’était vraiment pas comme eux. Et pas non plus comme le garçon qui venait de l’interpellé.

Ansem cherchait un instant ou le chat était parti, et il le vit se lécher les pattes pas très loin. Il regardait et analyser Nakito, le garçon devant lui. Il était étrange lui aussi, assez grand et une paire de lunette. Il sourit un peu a la phrase d’introduction, alors c’est comme ça qu’on accosté les gens dans le monde normal, on les critiquait, mais question critique, il été meilleur.

-Je m’appelle Ansem, j’aurait aimé être feud, il semblait pour intelligent que toi, et savait analyser les personne comme toi a la perfection. Et toi tu dois être le nouveaux clown, il y a un cirque dans le coin

Ansem avait garder un ton neutre, mais on sentait la répartie qu’il voulait avoir avec Nakito. Il appelât le chat noir, et il revient sur ses genoux, il ne savait pas a qui était le chat, mais peu d’importance.

Nakito souria à la réplique du garçon. Il descendit de son monocycle avant de le poser à coté du banc. Sans attendre la permission du jeune homme, il s'assit à coté de lui. Le moins qu'on puisse, c'est que ce garçon sortait des normes habituel, mais peut-être est-ce comme ça dans cette région. Nakito regarda maintenant le chat. Il le caressa entre ses oreilles et imita le cri du chat. Le pauvre chat sembla ne pas comprendre ce que voulait ce nouveau venu.

"Non, il n'y a pas de cirque dans la coin, mais je viens d'un cirque. Les clowneries ne sont qu'une de mes compétences. Et j'analyse pas les gens, c'est trop fatiguant. En plus ça n'apporte rien de bon, vaut mieux les faire rire. Et Freud, à part sa mère, il n'apporte rien de contrait, si le sur-moi. Dis-moi, Ansem. Pourquoi tu es seul avec ce chat?"

Nakito était vraiment intrigué par le fait qu'il était le seul à ne pas être dans un groupe. Il avait pris le regard d'un enfant qui cherche désespérement à comprendre. Aprés une seconde de silence, il reprit:

"Tu es nouveau, comme moi?"