Spirit~Magic
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 Holà chica !

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2 participants
AuteurMessage
Mave Wolff

Mave Wolff


Féminin Nombre de messages : 1
Age Virtuel : 20 ans
Arme : Dague et ceinture à poison
Petit(e) copin(e) ? : Non
Date d'inscription : 05/06/2011

°¤_ Infos _¤°
Vie:
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Elément: Air
Magie:
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MessageSujet: Holà chica !    Holà chica !  Icon_minitimeDim 26 Juin - 21:48




          × Nom :
          Casspio
          × Prénom :
          Wolf
          × Âge :
          19 ans
          × Sexe :
          Féminin
          × Classe :
          Elève ?




    Concernant les pouvoirs :
      × Elément contrôlé :
      Air
      × Armes :
      Dague, ceinture de poisons et longue chaîne en argent. (Gourde en métal avec de l'eau dedans et un briquet, ça compte?)


    Descriptions :
      × Physique :
      Grande, rousse, maigre, j’ai l’air cassée quand je marche. Complexée, je joue de ce corps qui me dérange : seins microscopiques, cage thoracique visible, jambes sans formes. Je le pare à peine avec des hauts trop large qui m’arrive sur le bord des seins, transparents, des chemises ouvertes à la moitié sans soutien gorge à cause de ma poitrine assimilable à des piqûres de moustiques, jamais l’air d’une fille sage. Coupe à la garçonne, il paraît que mon visage est d’une féminité de joli garçon avec une mâchoire carrée, une bouche pulpeuse, sensuelle, offerte, qui se jète au devant des autres : « Embrasse moi. ». Un nez droit de taille normal et des yeux surdimensionnées, bleus tendance vert, armés de cils brun, légèrement maquillés. Toujours chaussées de chaussures incroyables, les talons vertigineux, surtout les compensées, ne m’effraient pas. Mon métabolisme enviée par beaucoup (j’ai beau mangé comme 4 je ne prends pas un gramme) joue en ma faveur à notre époque avec cette mode du maigre beau, cette obligation d’être un porte-manteau qui me répugne, moi qui rêve de seins en 90C, de tailles de guêpe contrastée par des hanches. En maigre consolation, j’inscris sur mon corps des plumes de pan, des mots, des formes géométriques et des petits dessins, indélébiles, à l’encre verte, qui font de ma peau laiteuse une vallée de petites dunes sous-cutanées.

      × Caractère :
      Paresseuse. Bien que doté de nombreuses qualités, je suis quelqu’un de profondément paresseux mais ma paresse est plus assimilable à une sage lassitude qu’à une attitude végétative, cliché, insupportable. Je ne suis pas le genre de fille qui traine au lit et qui baille tout le temps, je suis beaucoup trop angoissée, presque qu’anxiogène, pour ça. Mon seul problème est que je m’ennuie partout, tout le temps, avec tout le monde. Malgré quelques exceptions trouvées au hasard, les gens m’ennuient prodigieusement. A mes yeux, chacun à une histoire passionnante, bouleversante, à raconter mais les formes, les gestes, le partage ne sont jamais là, toujours écrasés sous des litres et des litres d’idées reçues et de dégoût. Il est indéniable que je dois dégoûtée puisque je me dégoûte moi-même : cette grande gueule, cet air pédant qui n’existe pas vraiment et ces grands yeux qui prennent de haut sans faire exprès. Je n’arrive pas à cacher ce qui passe dans mes yeux, comme des vagues de dédain irrépressibles, sans digue, qui s’éclatent sur le bord de mes yeux. Mon manque de tact est d’autant plus douloureux que j’adore les autres, j’adore les hommes, véritables îles au trésor que je fouille sans même m’en rendre compte. Ainsi, bien que peu sociable au final, je suis très extravertie, très volubile et masque toute cette gêne par une extravagance peu commune, une franchise désarmante et une grande ouverture aux autres. Cette attitude me fait passer pour un personnage de théâtre, quelqu’un avec beaucoup d’humour qui n’a pas de mal à se faire des amis. Je ne suis pas fausse, je suis juste maniaco-dépressive avec mes humeurs en montagnes russes, rire un jour, larme demain, colère à midi. Cette nature paradoxale et changeante me fait vivre à cent à l’heure, trop fort, trop vite, surtout que je suis excessivement colérique et susceptible. Imprévisible, ma réaction à quelconque petite moquerie ou carrément une provocation est régulièrement disproportionnée. Marquée hors-norme, cette explosion en continu, cette imagination débordante et mon hypersensibilité me donne un certain talent et surtout une passion pour la littérature et les arts en général y compris la mode. Je suis également une grande amoureuse, une romantique baveuse et niaise qui contraste avec mes airs bravaches, garçonniers et vulgaires. Encore une fois, le paradoxe.


    Histoire :
    Je suis née dans une famille bourgeoise de professeurs de faculté. Mes parents m’ont appelé Wolf en hommage au personnage de l’Herbe Rouge, être pessimiste, apparemment sans sentiments, à la recherche du sens de sa propre vie. Je ne sais pas si c’est ce qu’ils espéraient de moi ou seulement son incompréhensible géni, dans tous les cas, ça a foiré. J’ai très vite été une enfant trop active, trop vive, donc rapidement mal dans sa peau. Les enfants ne comprenaient pas pourquoi j’inventais des jeux sans règles ni pourquoi j’avais un prénom aussi bête. Mon entourage n’a jamais vu ce que j’étais ni pourquoi je pleurais sans raison dans mon sommeil. Dépassé, on décidait de m’envoyer chez le psychiatre à la sortie du CM2 : je commençais à présenter des troubles du comportement, des violences inexplicables envers mes camarades. L’homme me suit encore aujourd’hui. Du haut de mes 10 ans, je lui posais les questions les plus anodines que mes parents, deux grandes personnalités du monde littéraire, n’avaient pas le temps d’écouter. Il m’expliquait la plupart des gros mots et faisait une partie de mon éducation sexuelle avec une grande pudeur. Je devenais une patiente à part dont il avait comme pitié et qu’il appréciait aussi pour la pertinence de son raisonnement. Très vite, notre travail se tourna vers mon manque affectif autant à la maison qu’à l’école. Je n’avais pas beaucoup d’amis et les autres s’amusaient à faire semblant d’être aimable, comme on apprivoise un animal sauvage pour se vanter de l’avoir fait. Mes années de collège ne furent pas ces années de découverte juvénile dont on parle entre copines. Mes journées se résumaient à l’étude et à la lecture. Fille de prof, ces passe-temps ne me dérangeaient absolument pas : j’adorai déjà des auteurs comme Maupassant ou Flaubert. Vers ma quatrième, le psychiatre conseilla à mes parents de m’inscrire à des cours de théâtre pour m’empêcher l’isolement complet au milieu de l’adolescence. La découverte de la scène, des projecteurs et du regard des autres satisfaisait enfin mon besoin d’attention. Les autres me regardaient, ils devaient maintenant m’admirer : j’explosais. La force vitale qui m’avait toujours caractérisée devenait un atout sur scène, j’étais grande, j’étais maigre, j’étais rousse et bruyante, je dévorai mon public sans faire exprès, avec des émotions pour de vrai quand il fallait les jouer. Le théâtre m’équilibrait. La petite troupe qui se forma au fil des années devient ma bande. Premières cigarettes, premiers baisers, premières soirées, premières courses dans la nuit, premières galères aux cafés qu’on quittait sans payer. Tous ensemble, nous commencions notre jeunesse avec quatre ans de retard, trop longtemps enfermés dans nos corsets de principes, nos hésitations d’enfants déjà trop vieux. Vers mes 16 ans, un garçon beau sans plus, très drôle et gentil, Eric me fit de l’œil. L’amour. On se retrouvait autour de Jean Genet, du malaise ambiant au fond de nous, un peu du théâtre et surtout autour d’un humour décapant, cynique et grinçant. Deux ans de bonheur tranquille, première fois, promesses, projets de mariage le samedi après un verre de trop, projets tout court et même rêves d’acteurs. Il me donna petit à petit confiance en moi en aimant mon corps de fillette, et en chérissat mon esprit tordu. Je me retrouvais en lui tout en le trouvant différent. Il était mon double et ma moitié à la fois. Après notre bac littéraire brillant, nous aspirions à de grandes études de théâtre et de cinéma. Et puis accident de voiture, patatraque, crash, mort. Larmes. La mort d’Eric fut pour toute la troupe un choc et pour moi c’était la Terre qui s’éclatait sous mes pieds. Plus rien n’avait de sens, l’amour, les projets, mon avenir brillant, tout ça c’était des conneries qui ne pouvaient pas se partager toute seule. Après 6 mois d’agonie, de sous-nutrition et de nuits sans sommeil, mon psychiatre s’imposa chez moi pour me trainer dehors. J’étais devenue verte, je pourrissais. Il eut un regard compitissant pour mes lèvres bleues, mes cheveux sales et mes cernes jaunes. A bout de bras, il me prit dans ses bras et me porta dans la rue. Ce n’est qu’à 18 ans que je découvrais mon pouvoir. Furieuse et folle de chagrin, je me débattais, hurlais à l’assassin, au voleur, au méchant. A force de vouloir échapper à mon protecteur, une bourrasque de vent m’emporta au-dessus de ses bras. Hallucinée, le souffle s’accéléra, me projeta à l’autre bout de la ville sans que je m’en rende compte. Respirer l’atmosphère me redonnait déjà des couleurs, une nouvelle vie. Ce n’est pas moi qui respirait, c’était l’air qui se jetait dans mes poumons pour me maintenir en vie. L’existence des pouvoirs m’était toujours apparu comme impossible et pour confirmer cette idée, je voulu m’élever au-dessus de la Terre : je me retrouvais à voler à une vitesse vertigineuse. La découverte de ce pouvoir soulagea ma douleur, comme un nouveau projet pour occuper le souvenir d’Eric. En hommage à notre auteur favori je commençais une vie de voleuse, sans les habits sales et les poux. Je commençais même un journal sur lequel je fondais en secret des espoirs littéraires. Un an plus tard, grâce aux nouvelles hebdomadaires que je donnais à mes parents, mon protecteur me retrouva pour m’aider. Ayant assisté à mon initiation, il avait fait quelques recherches et avait compris mon « pouvoir ». Toujours de bons conseils, il me persuada d’intégrer Spirit-Magic, aux frais de mes parents qui pensent me payer aujourd’hui une prestigieuse école de comédie. En un été, j'appris les rudiments du combat, me procurait des armes afin d'être présentable.

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Chris McGowan

Chris McGowan


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MessageSujet: Re: Holà chica !    Holà chica !  Icon_minitimeSam 9 Juil - 4:36

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