Couché de soleil

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Le soleil se couchait, ses rayons de couleurs rougeoyantes s'abattaent sur le sol terrestre. C'était avec ce décore de couchant qu'au loin l'on pouvait voir une silhouette, une silhouette féminine. Celle-ci, marchait, sur un chemin désertique menant à cette ville. Elle s'approchait des ruines avec une hallure assez lente. Arrivé devant celle-ci, la silhouette, ou plutôt celle de Saori dans l'obscurité, s'arreta net. Elle avait l'ar d'être perdue, perdue comme un chien errant dans les rues d'une villes remplient de gens ne faisant pas attention a ce chien ...

* Ma parole je suis vraiment perdue, remarque... ça me permet d'admirer c'est ruines, elle sont magnifiques, par contre, mes pouvoir sont diminuer, ici ce sont les élementalistes de feu, de foudre, et de terre, qui ont un grand avantage... Mais bon pas de quoi s'inquièté je ne pense point me battre, ou même utilisé mais pouvoir ... Je ne même pas envie de léviter, je vais marcher comme les êtres humains, qui n'ont, eux, aucun pouvoir à ce que je sache du moins *

Après avoir finit son monologue interne, elle reportit son attention sur le ciel, qui était lui magnifique...

* Le soleil se couche, et laisse place à l'astre lunaire, sombre et froid... Le bon coté des choses c'est qu'au moins l'avantage des élémentalistes qui utilise le feu, la foudre, et la terre est réduit, mais il n'en n'est aps moins existant, juste reduit... *

Saori continua de visité les ruines, totue pensant, à totu et a rien, mais la plupart de ces penser revenait à cette avantage... qu'on ici.... les élementalistes du feu, de la foudre et de la terre... Pour on se quelle raisons elle n'arrétait pas dit pensé, juste trop pour quelle y pense juste pas assez pour qu'elle en deviennent folle...

Quand tout à coup, elle entendît des bruits de pas, de pas lents, mais de spas comme aime * Qui est-ce ?? j'espère que ce ne'st pas un ennemi je n'ai aps la tête à me battre en ce moment... *

La silhouette faisant ces, mêmes bruits de pas, et s'approcha de Saori...* D'après cette silhouette, je dirait que c'est un homme, un jeune homme, et d'après son aura, c'est une élémentatliste de la foudre, espéront qu'il ne soit pas de mauvaise humeur * La silhouette se trouvait maintenant à quelques mètres de Saori, elle pouvait un peu, distinguer son visage et ses contours.... puis l'inconnu prit la parole ....

°Mais qu'est-ce que je fous là moi déjà ?°

Prononça mentalement le jeune homme tout en marchant le long des longs murs détruit d'une ancienne civilisation sans doute inconnue ou trop connue (Bah oui, c'est soit l'un soit l'autre en générale ). Que faisait-il là déjà ? Ah oui, il cherchait le un endroit pour pioncer tranquillement lorsque Natsu est arrivée en trombe en lui disant qu'il y avait des endroits trop sympa à visiter près de l'école. Mais pourquoi avait-il fallaut qu'il soit attiré par le mot "ruine" ? Pourquoi avait-il décidé d'y aller seul ? Il ne fit que pousser un petit soupire en guise de réponse à toute ses questions existentialistes dont les réponses n'allaient pas l'aider à se sortir de ce bourbier de murs.

Il bifurqua d'un pas lent vers la droite à l'une des intersections nombreuses qui se trouvaient dans ces ruines ultra-grande qui ressemblaient parfaitement à ce qu'un joueur chevronné de RPG sur consoles aimerait. Mais sur le coup, même lui qui en est un fan inconditionnel trouvait cette situation plutot fatiguante. Et voilà que la lumière du jour baissait en plus, Shin poussa un nouveau soupire fatigué en remarquant ce détail du ciel, normalement il pionce à cette heure là et il ne fait rien d'autre. Bon il y avait un petit plus pour lui au moins, si il avait besoin de lumière, il pouvait toujours se servir de son pouvoir pour s'éclairer.

Autre point positif, au moins il avait son éventail si il devait se défendre, quoique ce fut d'une maigre consolation en y repensant. il était l'un des seuls à n'avoir que ce petit machin pour se défendre, et dire que son père s'était débrouillé durant toute sa scolaritée avec seulement ce petit machin, il n'y croyait qu'à moitié. Il regardait son éventail lorsqu'il crut voir quelqu'un à une intersection, il revint donc quelque pas en arrière et remarqua une jeune fille qui marchait vers une destination inconnue. Se disant qu'elle saurait peut-être où se trouvait l'école, il marcha tranquillement dans sa direction de son pas nonchalant et ennuyé.

Arrivé à sa hauteur, il demanda d'une voix aussi nonchalante que sa façon de se tenir:

-"Excusez-moi, Mlle... Vous êtes bien une élève de l'école de magie, ne...?"

Arg, il ne savait vraiment pas comment débuter un semblant de conversation. Bah, en même temps, c'était pas trop le problème vu que ce n'était pas totallement ce qu'il cherchait, mais s'aurait été tout de même un peu mieux. Il poussa un petit soupire avant de rependre sa phrase:

-"Je me suis comme qui dirait perdu et... bref voilà quoi... Vous pouvez m'aider...?"

Il ouvrait et fermait son éventail dans un petit claquement sans réellement y faire gaffe, toujours est-il qu'il ne donnait pas vraiment l'impression d'être un élémentaliste de la foudre de part ses actions et sa façon de se tenir.

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Le ciel était alors inondé de teintes roses, oranges et or, à ce moment là. De splendides dégradés faisaient un ballet dans l'immensité ponctuée de nuages plus celestes les uns que les autres. Des constrastes, de la chaleur, véritable splendeur. Seul ceci pouvait à présent arracher un sourire à Erylis. La jeune femme avait revêti une combinaison de cuir neuve, l'ancienne avait fini en lambeaux lors de son affrontement contre Kasha. Son apparence avait radicalement changé, puisqu'elle avait pris l'enveloppe corporelle de la succube, cette antité qui la possédait depuis pas mal de temps. Après cela, elle avait fait un bon saut dans le temps. Elle avait à présent 21 ans, même si le temps ne s'était pas réellement écoulé depuis. La maturité qu'elle avait acquise était sans bornes, ainsi que sa puissance. Bientôt, elle deviendrait une enseignante de la pyrokinésie à l'académie de Spirit-Magic, là où elle était élève il y a peu. Un changement aussi radical avai de quoi choquer... Et ce dit changement avait ôté le sourire à Erylis, autrefois si heureuse, pleine de vie et d'énergie. Elle qui detestait la solitude, du moins avant l'affrontement... À present, toutes ses escapades se faisaient en solitaire. Elle avait du mal avec le monde, toutes ces persones joviales, qui étaient ses amis, avant. Mais ils ne la reconnaissaient plus. Son aura n'était que plus puissante, et même celle-ci leur parraissait inconnue. À quoi bon, s'accrocher, après tout... Quand l'astre solaire commenca à décliner, l'élémentariste du feu venait juste d'arriver aux ruines, lieu qui était devenu son endroit de prédilection. Et quand l'astre solaire laissa la place à l'astre lunaire; Erylis était dans es profondeurs des ruines. Il y faisait chaud comme dans un four. Mais la jeune femme ne ressentait absolument rien. Pour un élémentariste autre que du feu, celle chaleur serait fort incomodante, et pour un simple humain dénué de pouvoirs, elle serait tout bonnement infernale.

*Voyons... Un peu de luminosité de me fera pas de mal*

Erylis sortit sa main droite de sa poche, et la leva à hauteur de son visage. une flamme assez grosse s'en échappa, et difusait une lumière fort acceptable. Celle-ci dansait, projetant des ondulations et dessins fantasques sur les murs, comme si toute la cité engloutie par le temps dansait, elle aussi. Le visage de la jeune femme était aussi éclairé, lui donnant un effet plutôt inquiétant, voir apeurant. Un visage de femme, diablerie de séduction, fin, aux traits parfaits, sans une moindre inperfection, jusqu'au moindre détal. Telle était l'apparence des succubes. Cela s'éloignait bien de l'ancienne enveloppe charnelle de l'adolescente qu'était la Erylis d'avant. Abandonnant sa position de déhanché, nonchalante et fluide, ellecontinua tranquillement sa marche. Sa démarche était plus reptilienne qu'humaine, mais cela avait son charme. Tous ses gestes étaient fluides, évoquaient une vipère, prête à mordre. Un dangereux charme, tout aussi empoisonné que le venin que cette vipère. Elle avait pas mal progressé, ainsi. Elle réussit alors à ouïr des voix. Des vois d'adolescents, d'étudiants. Approximativement un jeune homme et une jeune fille. Sûrement des étudiants perdus, parmis l'espace infini de la vétuste cité fantasque, dédales d'une ancienne civilisation bien étrange, recèlant bien des secrets. Dans les livres, elle n'était qu'une légende. Mais comment les légendes prendraient-elles forme, si personne n'était revenu pour les compter ? C'est dans cette reflexion interieure que la jeune meurtrière arriva à proximité des deux étudiants. Elle reconnut immédiatement la jeune fille : elle se nommait Athéna Kido, elle avait déjà eu à la confronter, quand elle était elle-même étudiante. À écouter les deux jeunes gens, ils étaient tout deux perdus. Elle s'approcha encore, plus silencieusement qu'une ombre. Arrivée à quelques mètres d'eux, une vois cristalline s'échappa de ses lèvres de lys. Cristalline, mais pourtant carnassière et imposante.

"Vous avez besoin d'aide ?"

» †:. attente d'un soleil naissant [libre] .:†